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Oblivion – L’oubli

Oblivion est un grand film, le meilleur, en tous cas, de ceux que j’ai vus en 2013 et dont la musique, composée par M83 et Joseph Trapanese, un groupe electro français d’Antibes, bouleverse à chaque fois.
On ne saurait dire si c’est la musique ou le film qui l’emporte mais le tout forme une oeuvre de grand talent qui donne le frisson surtout quand on aime la science fiction et même si vous détestez Tom Cruise.

Oblivion en anglais siginifie l’oubli, l’oubli d’une mémoire qui fait par endroits surface, comme les monuments d’une civilisation passée, la nôtre, qui émergent ici ou là tels le pont de Brooklin, la statue de la Liberté, la tour Eiffel …

Sublime station au-dessus des nuages qu’habitent Jack Harper et sa partenaire ( « Etes-vous une équipe efficace?… ») et une mention particulière pour celle qui, dans un second rôle, se montre une actrice de premier plan: Andrea Riseborough.

 

 

Synopsis:
En 2077, après des décennies de guerre contre la terrible menace des Scavs (pour « scavengers » ou « charognards », appelés les « chacals » en version française2 ou les « rapaces » en version québécoise), les humains ont quitté la Terre. Jack Harper vit dans une station au-dessus des nuages et a pour mission de réparer et d’entretenir les drones présents à la surface de la Terre, afin de protéger les stations chargées d’extraire de l’eau de mer (cette dernière étant ensuite transformée en énergie pour les humains expatriés dans une colonie spatiale, en orbite de la Terre, qui doit aller sur Titan, une des nombreuses lunes de Saturne).
Un jour, témoin du crash d’un vaisseau spatial, Jack décide de se rendre sur les lieux, …
Ce qu’il pensait être la réalité vole en éclats quand il est confronté à certains éléments de son passé qui avaient été effacés de sa mémoire. Se découvrant une nouvelle mission, Jack est poussé à une forme d’héroïsme dont il ne se serait jamais cru capable. Le sort de l’humanité est entre les mains d’un homme qui se rend compte que la réalité n’est jamais celle que l’on croit…

 

La bande annonce

 

Jean-Michel Darrémont

 

 

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